10ème Sommet International du Jeu de Montréal
Lundi 11 et mardi 12 novembre se tenait le 10ème Sommet International du Jeu de Montréal aussi appelé MIGS, rendez-vous annuel de l’industrie du jeu vidéo et accessoirement le plus gros événement dédié aux professionnels du secteur sur la côte est en Amérique du Nord. Lancées en 2004 par des professionnels (dont Jason Della Rocca fait partie) désirant voir Montréal rayonner dans ce domaine, ces deux journées sont réservées exclusivement aux professionnels et aux étudiants désirant trouver un emploi dans l’industrie grâce au Salon de l’Emploi qui a lieu durant la seconde journée.
Comme tous les ans le programme était chargé avec des invités de renoms comme Ray Muzyka (co-fondateur de Bioware et fondateur de Threshold Impact depuis octobre 2012) qui ouvrait les festivités avec une conférence sur les meilleures pratiques en leadership et communication. Mais il y avait aussi Keith Katz un des co-fondateurs d’Execution Labs (parmi lesquels on retrouve encore une fois Jason Della Rocca) l’incubateur montréalais à la fois spécialisé dans le jeu vidéo et dans l’accélération de mise en marché, qui était là pour une conférence sur le marketing et la monétisation des studios indépendants spécialisés dans le mobile. Ou encore Chris Avellone d’Obsidian Entertainment et pour parler de RPG old-school, des projets Wasteland 2, Project Eternity et Tides of Numerama et de Kickstarter car c’est par ce biais que les projets ci-dessus ont été financés. Mais la conférence que j’ai préférée reste la dernière quand le MIGS se termine et que les participants et le public sont plus détendus et qui comme l’an passé avait un sujet, Do or Die, soumis à l’interprétation de 8 conférenciers différents qui avaient chacun 5 minutes pour parler.
Comme depuis les 3 dernières années j’y étais en tant que bénévole et cette année je me suis occupé de la section gaming, du scan pour que les participants entrent dans les salles de conférence et également de la sécurité pour l’accès à la salle des exposants (ça me change du poste de caméraman que j’avais occupé en 2011). En tout cas c’est vraiment une excellente opportunité de participer à la vie du Sommet et de rencontrer d’autres bénévoles qui viennent des quatre coins du monde.